On utilise le taux de réactivité pour mesure l’efficacité d’une campagne. Comme cet indicateur mèle le taux d’ouverture (pertinence de l’objet) et le taux de clics (pertinence du message), il est jugé comme plus complet.
La limite du taux de réactivité est liée au flou du taux d’ouverture (voir article sur le sujet). De ce fait, il ne permet que de juger des messages différents sur une même cible. En effet, le taux d’ouverture dépend du Mix de clients de messagerie utilisés par les destinataires. Avec un taux d’ouverture faible, on aura un taux de réactivité fort, ce qui n’est pas en soit une performance. Avec un taux d’ouverture fort, on aura un taux de réactivité faible, ce qui n’est pas forcément une contre-performance. En fait, c’est une donnée intéressante en compratif de différents messages.
On ne peut l’utiliser pour mesure la qualité d’un fichier en raison de l’hétérogénéité des clients de messagerie. En effet, dire qu’une cible est mauvaise car le taux de réactivité en faible peut être lié à un taux d’ouverture fort lié à une lecture des messages sur Smartphone.
En bref, ce n’est pas un indicateur très fiable. Lui préférer le taux de clics utiles qui mesure la conversion réelle de la campagne.